Les vieilles familles de marins doivent s’en souvenir: pour toucher sa pension, le marin n’avait qu’une obligation…se présenter au jour dit – Rue du Pont? – à l’Inscription Maritime (“au bureau de la Marine”) avec son livret pour la toucher et, chaque trimestre, des queues – comme décrites dans l’article – devaient se former pour plier soigneusement – en 1933 – leurs 1050 francs ou moitié pour les veuves, ce qui équivaut aujourd’hui, selon l’INSEE, à 250 et 125 euros par mois…c’était alors et aussi le moment de rembourser les “ardoises” dans les épiceries, boulangeries, chez les tailleurs et, bien sûr, dans les buvettes du “bon coin” et d’ailleurs…
Source Gallica
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