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Jean HUGO, arrière petit-fils de Victor [1894/1984].

  • Photo du rédacteur: Germain Malette
    Germain Malette
  • 23 déc. 2018
  • 2 min de lecture

TREBOUL – Le chantier au fond du port


Jean HUGO [1894-1984] était l’arrière petit fils de Victor HUG0, descendance qu’il eût, semble-t-il, du mal à assumer…Il était peintre, un artiste aux multiples talents, ayant – pour ce qui nous intéresse – fréquenté la Bretagne, surtout dans les années trente.

“Ses Mémoires relatent le moment où il arrive en novembre 1931 dans les parages de Douarnenez :

«Nous nous établîmes à Tréboul, dans cet hôtel Cariou […Hôtel Ty Mad actuel] qui évoquait le souvenir des peintres et des poètes. Dès le lendemain, l’été de la Saint-Martin répandit une lumière très douce sur le pays breton, qui jamais ne me parut plus beau qu’en ces journées d’hiver». A partir de ce moment, il voyage dans tout le pays, de la baie des Trépassés en Pays Pagan [29N], retraçant en gouaches sur carton ou en gravures les paysages qui le frappent : Sainte-Anne, l’océan vu de Tréboul. .. C’est durant cette période que se forgent des constantes dans l’oeuvre de Jean Hugo : l’omniprésence de la nature et du paysage, la dualité permanente dans ses oeuvres entre la mer et la terre, le solide et le liquide, et une simplification des formes.” [Le Télégramme]


L’année suivante, il revient à Tréboul où il a loué une petite maison à volets verts, en haut de la rue du Roi Gradlon…[Douarnenez et ses environs vus par les peintres – André Cariou…]

Retour en Bretagne, plus tard.

….La Bretagne ne le quitte pourtant pas. Vincent Bioulès, peintre et ami de Hugo, relatait «Hugo m’a confié, rêveur, qu’il aurait peut-être mieux fait de vendre Fourques [sa maison dans le Sud] pour acheter une petite maison en Bretagne». Début 1960, il revient sur les traces de ses premiers éblouissements, et repeint la baie de Douarnenez, ainsi que la côte des Abers… [Le Télégramme]


Îlot  Saint Michel vu de Tréboul

Chapelle Saint Jean

La montagne de Tréboul

..On va dire Le Port

Une rue familière, mais laquelle?

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